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 Never meet your heroes. feat Steve Rogers

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John Walker
John Walker

Date d'inscription : 09/09/2023
Pseudo : Numéro 8.
Je ressemble à : Wyatt Russel
Je suis aussi : aime bien les Sinister Six d'Harry Osborn, a déjà été volé par Felicia Hardy, est un mutant tout comme David Haller, a déjà été électrocuté par Max Dillon, a une belle gueule comme Billy Russo, a fait partie de la résistance latvérienne tout comme Agon Gal, a eu besoin des services de Matthew Murdock.
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Message Sujet: Never meet your heroes. feat Steve Rogers   Never meet your heroes. feat Steve Rogers EmptyDim 1 Oct 2023 - 5:54



Never meet your heroes.

John Walker &   @Steve Rogers

It's true what they say. Never meet your heroes. It turns out they're all a bunch of fucking assholes. They're probably the reason you turned into such a fucking asshole - because they were your heroes and you spent all your time trying to be like them.

En donnant un coup de pied à cette porte de métal, John pensa trouver derrière elle des hommes, armés jusqu’aux dents, peut-être prêt à l’accueillir. En mission, un soldat doit toujours se préparer au pire. Son cerveau imagina donc une scène gargantuesque alors qu’à l’accoutumé, s’en aller chercher dans son propre appartement un agent d’Hydra ne demandait pas de telles précautions. Un peu plus tôt dans la journée, la radio avait crépité son titre : Captain America. Des espions avaient localisé l’une des nombreuses planques d’un haut gradé de la société secrète, Daniel Boones. C’était une opération qui ne pouvait pas échouer, cet homme détenait de bien trop précieux renseignements. Un mot et Hydra était à la déroute. Alors, autant envoyer le meilleur élément pour gérer cette mission. Le grand, l’unique, Captain America.

Pourtant, c’est une pièce presque vide qui l’accueillit. La porte s’envola, traversant ce bien triste salon et manqua de peu d’exploser une vitre pour passer à travers finissant ainsi sa route sur le trottoir. Cela faisait bientôt trois mois que ce sérum coulait dans ses veines et Walker réussissait de mieux en mieux à contrôler sa force. Néanmoins, son exaspération naturelle, elle, se manifesterait toujours de manière bien trop ostentatoire pour son bien. Il passa le seuil, évoluant enfin dans les lieux de manière tactique. Le reste de ses sens étaient en alerte, s’attendant au moindre piège. Pourtant, très vite, le soldat se ferrait à cette triste réalité. Ce n’était qu’un salon. En désordre, les cadavres de bouteilles jonchant le sol, les murs peinaient à retenir le papier peint et un bien qu’il ne payait sans doute aucun loyer, un gros rat noir avait élu domicile, ses petites pattes le dirigeant vers la cuisine pour fuir cet intrus qui semblait peu commode. Néanmoins, ce désordre était tout de même le témoin d’une vérité qui effrayait le capitaine. La télévision était encore allumée, la présentatrice invitant les augmentés à se faire recenser. Le robinet de la cuisine s’écoulait toujours, couvrant presque la voix de la journaliste. Des feuilles volantes étaient maintenant éparpillées un peu partout, décorant elles aussi ce sol qui ne laissait presque plus aucune place aux carrelages. Boones avait pris la fuite. Son poing aurait pu rencontrer un mur mais John était conscient que cette immeuble abritait également des familles, probablement terrifiés par son arrivée bruyante de tantôt. Aussi, il canalisa sa frustration, se concentrant maintenant sur la recherche d’indice. Daniel avait dû laisser des traces, peut-être il pourrait trouver où est-ce qu’il avait bien pu aller.

Un bruit étouffé par la porte de la salle de bain lui fit mettre son bouclier en avant. Walker fronça les sourcils. Boones n’avaient pas eu le temps de fuir. A cette simple pensée, ses dents ne purent rester cachées. Le capitaine l’espérait bien, cette mission était censée être facile, sans prise de tête, tout ce dont il avait besoin actuellement pour continuer à se faire bien voir des services militaires américains. Aussi, alors que le protocole aurait exigé pour sa propre sécurité une entrée discrète. Pourtant, si désireux de recevoir une quelconque validation, le jeune homme oublia toute sûreté, défonça à nouveau la porte d’un seul coup de pied. Ce qui l’attendit derrière fut plus qu’une surprise. Une silhouette familière. Elle ne ressemblait nullement à Daniel Boones et sa carcasse molle qui trainait une cinquantaine de kilo comme le plus lourd des fardeaux. Non, elle était bien bâtie, grande, musclée et oui familière. John est bien conscient que ce sentiment ne sera pas réciproqué. L’homme qui se dressait devant lui n’avait pas grandi en lisant des comics à son effigie, n’avait pas appris le patriotisme grâce à lui, n’avait pas passé des heures à l’idolâtrer au point de vouloir arborer fièrement son symbole sur sa poitrine. C’est le propre des relations parasociales. Une seule des personnes est consciente qu'elle existe.

« Vous êtes… Steve Rogers… »

Le jeune homme fit un salut militaire, se tenant maintenant droit comme I, bombant involontairement le torse, le flanc de sa main ayant rencontré son front à une vitesse indéfinissable. Steve Rogers ne rencontrait pas Captain America, le soldat expérimenté qui avait fait ses preuves à plusieurs reprises, non, il s’adressait à John Walker, gamin de huit ans qui le voyait comme son modèle. Il en oubliait sa mission. Engrossé dans son costume, portant son bouclier, il rencontrait enfin Captain America.

 
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Steve Rogers
Steve Rogers

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Je suis aussi : A survécu à une chute mortelle avec Gwen. Part danser le soir en compagnie d’Alice. Participe à des courses de voiture avec Lizzy. Se retrouve à l’hôpital sous la surveillance d’Amy. Est sortie des années quarante en compagnie d’Aly. Se balance de toile en toile avec Spidey. Partage sa vie avec un symbiote tout comme Eddie. Se fait battre à la course par Pietro. Part souvent en mission avec Lucy. Est corrompue avec June.
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Message Sujet: Re: Never meet your heroes. feat Steve Rogers   Never meet your heroes. feat Steve Rogers EmptyJeu 30 Nov 2023 - 22:53

Never meet your heroes.
@John Walker & Steve

« But you treat me like a stranger. And that feels so rough. You didn’t have to stoop so low. Now you’re just somebody that I used to know. »
Lorsque l’on m’avait contacté pour cette mission, je n’avais pas pu refuser. Comment aurais-je pu ? Il y avait une nouvelle tête d’HYDRA qu’il fallait, à présent, arrêter à tout prix. Je savais très bien ce que j’avais à faire et à quel point cette mission se révélait être de la plus haute importance. Je ne devais pas échouer sur cette dernière. En effet, celui que l’on recherchait détenait certaines informations qui se révèleraient être bien utiles. Alors, oui, cette mission ne pouvait pas échouer. Elle était bien trop importante pour qu’on se permette le moindre faux pas. Je savais très bien quoi penser d’HYDRA et, de toute évidence, on ne pouvait pas avoir confiance en ces derniers. C’était à s’en douter, il pouvait très bien se retrouver dans ce New York. Je n’avais jamais imaginé que cette organisation puisse disparaître du jour au lendemain. Bien au contraire, je savais très bien que cette dernière survivrait. Elle avait réussi à affronter toutes les épreuves, bien qu’on ait toujours réussi à les contrer tant bien que mal. HYDRA avait survécu à la Seconde Guerre mondiale en se dissimulant, en faisant croire qu’elle avait été défaite. Je n’aurais jamais pensé que cet ennemi ferait, un jour ou l’autre, de nouveau surface. Ni même que cette dernière se cacherait dans une organisation telle que le SHIELD. Nous avions été dupés et ils en avaient profité.

J’avais eu l’impression de faillir à ma première mission. Moi qui pensais que tout s’était arrangé depuis, il n’en était rien. Alors, s’il y avait un moyen de faire, un tant soi peu, pencher la balance, je ne comptais pas me priver. S’il fallait arrêter ce dénommé Daniel Boones, je comptais bien le retrouver. Surtout que, pour cette mission, on n’avait pas hésité à me transmettre son adresse. Le tout, c’était d’entrer en toute discrétion. Il ne fallait surtout pas se faire repérer de risque que l’homme puisse prendre la fuite. J’avais emprunté l’escalier de service. C’était certainement la meilleure chose à faire dans un premier temps. Je ne me voyais pas défoncer la porte. Certes, c’était peut-être inattendu, néanmoins je me disais que la méthode était peut-être un peu trop bruyante et que notre homme pourrait prendre la fuite. Pire encore, il pourrait également croquer dans une capsule de cyanure afin d’éviter l’interrogatoire. J’avais déjà eu à faire face à ce cas de figure et il n’était pas à négliger. Il faudrait peut-être le neutraliser rapidement avant que ce dernier ne tente de mettre fin à ses jours. Il faut le dire, les agents d’HYDRA étaient des spécialistes en la matière.

Je finis par arriver devant l’une des fenêtres de l’appartement. Je fus tout de même assez surpris que, cette dernière mène directement à la salle de bain. Néanmoins, je ne m’étais nullement attendu à ce que la porte de cette dernière sorte de ses gonds. Instinctivement, je m’étais protégé avec mon bouclier avant de regarder qui avait bien pu défoncer la porte de cette manière. Pour le coup, je ne m’étais nullement imaginé face à ce scénario. J’avais souvent entendu parler de ce nouveau Captain America, celui qui avait pris ma place dans ce monde. Que faisait-il ici ? Pour le coup, nous avions tous les deux une manière bien différente d’agir. « Et vous êtes John Walker, si mes informations sont exactes ? » Il était le tout nouveau Captain America et, d’une certaine manière, je lui devais tout de même un certain respect. Alors, j’avais tendu la main vers se dernier. Autant se présenter comme il se doit.
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Je ressemble à : Wyatt Russel
Je suis aussi : aime bien les Sinister Six d'Harry Osborn, a déjà été volé par Felicia Hardy, est un mutant tout comme David Haller, a déjà été électrocuté par Max Dillon, a une belle gueule comme Billy Russo, a fait partie de la résistance latvérienne tout comme Agon Gal, a eu besoin des services de Matthew Murdock.
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Message Sujet: Re: Never meet your heroes. feat Steve Rogers   Never meet your heroes. feat Steve Rogers EmptyLun 18 Déc 2023 - 7:25



Never meet your heroes.

John Walker &   @Steve Rogers

It's true what they say. Never meet your heroes. It turns out they're all a bunch of fucking assholes. They're probably the reason you turned into such a fucking asshole - because they were your heroes and you spent all your time trying to be like them.

« Je suis plus qu’honoré de pouvoir enfin faire votre connaissance ! »

Steve Rogers connaissait son nom. Cela faisait peut-être groupie mais l’esprit de John ne fit que répéter cette information en boucle. Il était le nouveau Captain America, il est donc normal qu’il soit un tant soit peu connu. Cependant, au point que celui qui avait fait de cet emblème ce qu’il est aujourd’hui pu l’appeler par son prénom ? Son casque bleu masquait ses pommettes rougissantes. Il était si honoré. Devant lui se tenait son héro, l’homme qu’il avait toujours rêvé d’être et d’impressionner. Le simple fait qu’il sache qui il était le ravivait. D’autant plus alors qu’il lui présenta une main à serrer. John, soldat si protocolaire n’hésita pas à faire le salut militaire à la vue d’un tel héro. Que ce dit grand homme, lui, opta pour une poignée de main le surpris. Il attrapa donc toujours excessivement impressionné par la figure qui se dressait devant lui.

« Hum… Vous avez entendu parler de moi ? »

Le voilà tout gêné, bien trop pour un homme qui dégageait toujours une si grande confiance en lui. Il n’y croyait toujours pas, cela ne pouvait pas être possible. Ce Steve Rogers n’était pas celui de son univers ou même de celui-ci, mais dans la posture, les agissements, la bonhomie, il était véritablement Captain America.

« Vous êtes certainement venu à cause du signal radio, de Daniel Boones. »

Le soldat toussota légèrement pour reprendre un peu de prestance. Il se sentait bien trop pathétique face à son héro d’enfance. Walker ne devait pas oublier qu’il était en mission. Boones ne pouvait pas avoir fui bien loin. Alors, même s’il mourait d’envie de discuter des heures durant avec ce Steve Rogers, les priorités devaient être mises.

« De ce que j’ai vu, Boones a quitté les lieux il y a peu. Il a certainement dû intercepter le signal radio. »

Et puis, s’il pouvait également paraître compétent face au Captain America originel il ne dirait pas non. Son approbation était presque vitale pour John. Tant de personne vociforait encore et encore sur le fait qu’il serait un mauvais successeur et qu’il ne serait pas digne de porter ce bouclier. Le soldat voulait prouver à son héro d’enfance que oui, l’armée américaine avait bien fait de le choisir lui, qu’il n’était pas un échec et qu’il ne déshonorait pas son emblème.


 
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