Trust NobodyTrust Nobody est un forum Marvel qui se passe juste après les évènements de Spider-Man No Way Home. Mêlant tous les univers Marvel possible et imaginable, venez plonger dans l’univers que veux vous offrir le forum. Tout en se basant sur l’univers du MCU, le forum envisage de se détacher de ce qui se passe dans les films. Vous pouvez ainsi interpréter des personnages tirés des comics et des films ou inventés vos propres personnages.
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Date d'inscription : 19/07/2023 Pseudo : Numéro 8. Je ressemble à : Anthony Carrigan. Je suis aussi : Fait partie des Sinister Six d'Harry Osborn, a déjà été volé par Felicia Hardy, est un mutant tout comme David Haller. Messages : 46 Dollars : 240
The night is never over. Son souffle voulait s’envoler au bout de deux pas. Max maudissait Spider-Man, cette brute qui ne savait pas se mêler de ses affaires et qui à chaque confrontation démolissait en peu plus le pauvre corps du criminel. Un jour, il aurait sa peau, il en était certain. Néanmoins, actuellement, il se devait de marcher jusqu’à l’hôpital, le bras autour des épaules d’Amy. Le boost octroyé par le coup de jus de la jeune femme de tantôt s’en était allé. Le super-vilain ne devait pas être surpris. Il avait perdu beaucoup trop de temps dans cet appartement. Il aurait dû partir et faire ses négotiations un autre jour où le temps ne serait pas aussi limité. Mais, Max étant, Max, sa bouche s’était mise à déblatérer un bien trop grand nombre d’ineptie pour son propre bien, blessant l’infirmière et le criminel avait été incapable de quitter la pièce sans rectifier un tant soit peu le tir.
« Tout ça pour dire que Star Wars est l’une des meilleures licences de la planète et que c’est vraiment un crime que vous n’ayez jamais regardé un film. »
Oui, Max avait passé les vingt dernières minutes dans un plaidoyer en faveur de la saga de Georges Lucas. La ruelle nocturne habituellement fut comblée par les arguments d’un criminel bien trop fan de pop culture. Il faut le comprendre, à l’accoutumé, la seule personne avec qui il pouvait discuter de ses passions étaient un type qu’il abhorrait avec la plus grande des passions. Converser avec Amy était bien plus plaisant. La discussion n’était pas interrompue par des lancer de toile ou de vague d’énergie pure.
Ils tournèrent à gauche et Max commençait à se repérer, ce mur auquel il s’attenait commençait à lui rappeler quelques souvenirs. Ils ne devaient plus être bien loin de l’hôpital. Fort heureusement car le patient fatiguait de plus en plus. Il ne pouvait même pas s’offrir le luxe de regretter sa petite escapade, il sait bien qu’il serait devenu fou, coincé dans cette chambre d’hôpital et étant dans l’incapacité de se nourrir sans mettre l’ensemble du bâtiment à la déroute. Encore, quelques pas et il pourrait se reposer. Malheureusement, l’univers n’était pas en accord avec ses plans de fin de soirée. Croyez-le ou non mais Max est une personne méfiante. Aussi, à la vue lointaine d’une silhouette capuchonnée, ses sens s’étaient mis en alerte. L’obscurité de la nuit donnait à certain des ailes amochées pour tenter divers larcins. Il les connaissait bien, fut une époque, ils faisaient partie de son quotidien. Aussi, plus tard, il s’en voudra énormément de ne pas avoir exprimer ses doutes à voix haute. Ainsi, Amy et lui aurait tout simplement changé de trottoir et l’infirmière ne se serait pas fait dérober son sac devant ses yeux. Le criminel retint difficilement un soupire. Il était bien trop exténué pour ce genre de bêtise. Il aurait tant aimé balancer une simple valse d’énergie dans le dos de cet abruti. Le délinquant de bas étage serait tombé raide mort sur le trottoir dallé et ils n’auraient qu’à faire quelques pas pour récupérer le sac. Cependant, Max en était conscient, il tuerait qui que ce soit devant la rousse et cela en était fini pour lui, direction le Raft. Il créa donc plutôt un fouet d’électricité, fin et maniable, ce rassemblement d’ions étaient parfaits pour son office. Il visa de manière chirurgicale la lance du sac, le faisant tomber lui et son contenu au sol. Le délinquant n’arrêta pas sa course, ayant vite compris qu’il ne valait pas mieux se frotter à un type avec des pouvoirs.
« Bon, le sac est foutu mais au moins, vous avez le plus important. »
Ses mots peinaient à sortir. Une telle démonstration de ses capacités l’avaient poussé à puiser une énergie qui était essentielle à son corps pour fonctionner. Ses jambes lâchèrent, Max rencontrait pour une énième ce soir le froid du sol.
Amy Davis
Date d'inscription : 16/07/2023 Pseudo : pumpkin. Je ressemble à : Katherine McNamara. Je suis aussi : A survécu à une chute mortelle avec Gwen. Part danser le soir en compagnie d’Alice. Participe à des courses de voiture avec Lizzy. Est sortie des années quarante en compagnie d’Aly. S’est retrouvée congelée au côté de Captain America. Se balance de toile en toile avec Spidey. Partage sa vie avec un symbiote tout comme Eddie. Se fait battre à la course par Pietro. Part souvent en mission avec Lucy. Est corrompue avec June. Messages : 43 Dollars : 173
« I can see all the fears you face though a storm that never goes away. Don’t believe all the lies that you’ve been told. I’ll be right here now to hold you when the sly falls down. »
Je savais que je devais accompagner Max jusqu’à l’hôpital. Je n’étais pas certaine qu’il y arrive tout seul. Bien au contraire, je craignais même qu’il ait perdu trop de temps au sein de mon appartement et qu’il ne puisse plus rentrer. D’une certaine manière, j’étais responsable de la situation. Je l’avais longtemps retenu en discutant avec lui au lieu de lui demander de quitter les lieux. Alors que je n’avais eu qu’une seule envie lorsque je l’avais retrouvé allongé sur mon canapé, c’était qu’il parte et retourne là d’où il venait, j’avais tout de même passé un long moment à discuté avec ce dernier. Je m’étais comporté comme s’il s’agissait d’un invité, ou comme si nous étions dans sa chambre d’hôpital, à discuter comme il nous arrivait de le faire parfois. Pour le coup, j’avais commis cette erreur et je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même. De plus, je n’avais pas envie qu’il ressasse, pendant tout le trajet, tout ce qu’il avait pu me révéler. J’imaginais seulement la moitié de tout ce qu’il avait pu subir et je me demandais toujours comment l’hôpital avait pu le déclarer mort. C’était une faute professionnelle qu’ils avaient commise et il en avait payé les pots cassés. Comment pouvait-on se retrouver enterrer vivant ? Cette expérience avait dû être plus que traumatisante et il en avait parlé comme si de rien n’était, comme si ce n’était rien. J’imagine qu’il essayait réellement de s’en persuader, que c’était un système de défense pour ne pas être confronté à cette triste réalité. Cependant, je culpabilisais un peu trop pour le laisser rentrer tout seul.
Néanmoins, j’avais commis une seconde erreur. Je n’aurais jamais dû lui dire que je n’avais pas vu un seul Star Wars. Je l’avais tout de même laissé faire son plaidoyer. Après tout, je l’avais autorisé à le faire vingt minutes plus tôt, avant qu’il ne commence à me parler de la saga. Je l’avais écouté sans rien dire, ne bronchant pas une seule seconde, même si je commençais réellement par être légèrement agacé. Même si, d’une certaine manière, cette situation m’amusait également. Il faut dire que son plaidoyer se montrait très convaincant. « Bon et bien, j’imagine que je ne vais pas avoir le choix. Il va falloir que je regarde Star Wars. » Je souriais. Oui, évidemment que je n’allais pas réellement avoir le choix. J’imaginais déjà ce dernier en train de me demander, à chacune de mes visites à l’hôpital, si j’avais enfin regardé un épisode de la saga. Je n’allais avoir d’autre choix que de la regarder à présent. « Mais je crois que je vais avoir besoin d’un expert en Star Wars pour regarder cette saga. Et j’imagine que ça fait un moment que vous n’avez pas regardé un film, n’est-ce pas ? » Est-ce que je venais de lui demander, de façon totalement indirecte, de regarder un film avec moi ? Oui. Et je ne m’imaginais pas lui poser la question directement. Après tout, il avait avant tout mon patient à l’hôpital.
D’ailleurs, nous étions en train de nous approcher de notre destination. Nous n’étions plus très loin de l’hôpital et ce dernier pourrait certainement se reposer une fois arriver. J’espérais seulement que cette escapade lui serve de leçon et que la prochaine fois il réfléchirait avant de sortir. Bon, en même temps, il n’avait plus grand-chose à faire à l’extérieur, maintenant que je m’étais engagée à lui fournir un peu d’électricité grâce à mes capacités. Et, visiblement, il en avait peut-être besoin en cet instant. Cependant, je refusais catégoriquement de les utiliser dans la rue. J’avais bien trop peur que l’on me voit faire et j’avais été clair dès le début ; je ne voulais pas que le monde sache pour mes capacités. Je voulais les garder pour moi et, si j’avais eu le choix, je ne les aurais jamais dévoilés à Max. Maintenant que ce dernier était au courant, j’avais fortement envie que ça reste ainsi. Je ne voulais pas que d’autres apprennent quoi que ce soit. Je ne voulais pas avoir de problèmes.
Enfin, peut-être que j’aurais dû attendre avant de parler. Alors que nous n’étions plus très loin de notre destination, nous croisions un homme, capuche sur la tête. J’avais senti que Max avait légèrement changé dans son attitude, mais je ne savais pas l’expliquer. Enfin, c’était avant que l’individu que nous croisions finisse par m’arracher mon sac à main pour partir avec en courant. Je m’apprêtais à protester pour lui courir après quand je vis Max utiliser ses propres pouvoirs pour récupérer mon bien. Alors que je récupérais ce dernier et que je remettais son contenu à l’intérieur, je ne pus m’empêcher de m’énerver à sa remarque. Enfin, ce n’était pas réellement cette dernière qui me dérangeait le plus. Cependant, je n’eus pas réellement le temps de m’énerver contre lui, surtout lorsque j’avais entendu un bruit sourd et que j’avais redressée la tête pour voir ce dernier au sol. « Max ! » Je relâchais aussitôt mon sac pour me précipiter vers ce dernier tout en redressant mes manches. Au diable mes affaires, il y avait bien plus important. Alors, sans la moindre hésitation, j’utilisais mes capacités et lui redonner un coup de boost. J’imaginais que c’était de ça dont il avait le plus besoin actuellement. Surtout que c’était à cause de ses pouvoirs qu’il venait d’utiliser qu’il n’avait pas pu tenir. « Allez, Max, debout. Tu peux le faire. » Et, sans plus attendre, je lui renvoyais un second coup de jus. Bon sang, et moi qui ne voulait pas utiliser mes pouvoirs en pleine rue. Cependant, comment aurais-je pu le laisser ainsi alors qu’il avait essayé de m’aider ? Non, je me devais de mettre mes principes de côté. C’était à son tour d’avoir besoin de moi.
(c) DΛNDELION
Max Dillon
Date d'inscription : 19/07/2023 Pseudo : Numéro 8. Je ressemble à : Anthony Carrigan. Je suis aussi : Fait partie des Sinister Six d'Harry Osborn, a déjà été volé par Felicia Hardy, est un mutant tout comme David Haller. Messages : 46 Dollars : 240
The night is never over. « Une éternité ! Je n’ai même pas vu la nouvelle trilogie, bon, j’ai entendu dire que ce n’était pas une grosse perte. Je serais plus que ravie de vous regarder les épisodes avec vous ! J’ai une anecdote sur quasiment chacune des scènes de la saga ! »
Le criminel s’emballait un peu trop rapidement. Que voulez-vous ? Revoir Star Wars au côté d’Amy lui ferait tant plaisir. N’importe quel geek vous le dira, partager ses passions avec des néophytes intéressés était toujours une activité des plus prenantes ! Il désirait que la jeune femme voit de ses propres yeux en quoi cette saga était magique. Dès sa plus tendre enfance Max avait utilisé la pop culture pour s’évader, quitter son quotidien traumatique, morose. Cette passion l’avait aidé, même sauvé. Pour le super-vilain, ces œuvres bien que fictive avaient d’une importance primordiale dans sa vie. Les montrer à la jeune femme ne pouvait que le ravir !
Max jouait rarement les héros. Lorsqu’un crime se déroulait devant ses yeux. Vous pouvez vous estimer heureux si le criminel ne fait que détourné le regard et ne se met pas à perpétuer le malheur. Pourtant, cette fois, il arrêta cet abruti. Déjà, il pensait que s’attaquer à lui était une bonne idée, et puis, il avait osé poser la main sur Amy. Ses introspections tardives l’aideraient à comprendre pourquoi ce simple fait le dérangeait. Dans le feu de l’action, il n’avait pas réfléchi et avait tout simplement décidé de venir en aide à la jeune femme, ne pensant pas une seule seconde à sa propre intégrité physique. Il avait emprunté de l’énergie, la dépenser de la sorte ne ferait que le remettre à son état initial de souffrance et de fatigue intense. Il tomba au sol. Son flanc gauche le maudissant sincèrement. Il pensait rester là, un moment, en profiter pour se reposer un peu. (Il avait déjà dormi dans des endroits bien plus saugrenues qu’un trottoir) Cependant, la demoiselle qui l’accompagnait n’était pas du même avis.
« Waouh ! »
Le criminel se leva d’un bond. Le premier coup de jus avait déjà fait le travail mais le deuxième acheva très clairement sa remise sur pied. Toute cette énergie, qui circulait dans son corps, ne faisait plus qu’une avec chacune de ses cellules qui ne demandaient qu’à être rejoint par d’autres ions tout aussi chargés, tout aussi désireux de faire partie d’un tout.
« J’ai eu le droit à deux coup de jus ! C’est giga agréable ! »
Max souriait maintenant. Il en quémanderait bien un troisième mais il était certain qu’il se mangerait un violent refus. Le super-vilain allait donc se contenter de ce qu’on lui donnait bien que son corps lui réclamait encore et toujours plus d’énergie.
Amy Davis
Date d'inscription : 16/07/2023 Pseudo : pumpkin. Je ressemble à : Katherine McNamara. Je suis aussi : A survécu à une chute mortelle avec Gwen. Part danser le soir en compagnie d’Alice. Participe à des courses de voiture avec Lizzy. Est sortie des années quarante en compagnie d’Aly. S’est retrouvée congelée au côté de Captain America. Se balance de toile en toile avec Spidey. Partage sa vie avec un symbiote tout comme Eddie. Se fait battre à la course par Pietro. Part souvent en mission avec Lucy. Est corrompue avec June. Messages : 43 Dollars : 173
« I can see all the fears you face though a storm that never goes away. Don’t believe all the lies that you’ve been told. I’ll be right here now to hold you when the sly falls down. »
J’imaginais que ce n’était pas au raft que Max pouvait avoir regardé des films. Je me demandais parfois quels étaient les conditions des prisonniers dans ce genre de prison. Je n’osais pas poser la question. Je pense qu’il n’y avait pas besoin de remuer le couteau dans la plaie. J’imagine qu’il avait assez souffert comme ça et je n’avais pas besoin d’en rajouter. En tout cas, cette prison ne devait pas être dotée de salle de cinéma et ça m’étonnerait également que les super-criminels puissent avoir, un jour, le droit à la télévision. Alors oui, j’imaginais que ça faisait déjà un long moment qu’il n’avait pas eu la chance de voir un film. Peut-être que je devrais lui mettre la télévision dans sa chambre d’hôpital. Au moins, il aurait de quoi s’occuper et, peut-être, il penserait à autre chose qu’à faire des escapades nocturnes dans différentes centrales électriques. Bon sang, il était peut-être préférable que je ne repense pas à tout ça, surtout si je ne voulais pas m’énerver à nouveau. Après tout, cette situation n’avait absolument rien de normale. Je ne devrais pas être, actuellement, dans la rue en train de le raccompagner jusqu’à l’hôpital. Et dire que nous étions en train de marcher tranquillement tout en discutant de pop culture…
Je fis cependant abstraction de toute cette histoire. Maintenant, il était trop tard pour me mettre à nouveau en colère. Surtout que, maintenant, nous avions un accord. J’espérais juste que, cette fois, il s’y tiendrait réellement. Alors, je préférais me concentrer sur la conversation actuelle. Et dire que je n’aurais jamais pensé regarder Star Wars de ma vie. Ce n’était pas une histoire qui m’avait attiré. Et je n’avais jamais compris l’engouement de certaines personnes pour la saga. Cependant, entendre Max me parler de Star Wars me fit doucement sourire. C’était un réel passionné, ça ne faisait aucun doute. « Ah non ! Pas sur toutes les scènes. Les scènes majeures de la saga si vous voulez, mais pas sur tout. Sinon on va devoir recommencer le film pour que je réussisse à comprendre quelque chose. » J’étais tout de même assez amusée de la situation. Je savais très bien que je ne pourrais pas empêcher Max de parler et de me raconter tout ce qu’il savait. C’était un vrai moulin à parole et, il n’y avait pas à dire, on ne s’ennuyait pas avec lui, bien au contraire. Il avait tendance à parler un tout petit peu trop.
Cependant, j’étais loin de me douter que, sur le chemin, quelqu’un tenterait de voler mon sac à main. Je n’eus pas réellement le temps de faire quoi que ce soit, que Max avait utilisé ses pouvoirs. Mais pourquoi est-ce qu’il avait fait ça ? Si je l’accompagnais jusqu’à l’hôpital c’était parce que je ne savais absolument pas si le coup de jus que je lui avais donné chez moi durerait assez longtemps pour qu’il tienne le coup tout seul jusqu’à destination. Lorsque je l’avais vu étendu sur le sol, je n’avais pu m’empêcher de m’inquiéter. Déjà qu’il n’était pas au mieux de sa forme quand je l’avais trouvé dans mon salon, mais maintenant, j’imaginais que la situation devait peut-être être bien pire. Alors, dans la précipitation et la panique, je lui accordais deux coups de jus, me demandant si ce serait assez pour le remettre sur pied. Je ne savais absolument pas quelle quantité d’énergie il avait besoin et, je ne savais pas si j’avais bien fait.
Ce n’est que lorsqu’il se releva d’un bond que je fus soulagé. Ou presque. Je me relevais à mon tour et, dans l’impulsion, lui donnait une tape sur l’épaule. « Non mais ça ne va pas ?! Vous m’avez fait peur ! » Non, il ne fallait pas que je m’énerve à nouveau contre lui. Même si j’avais eu peur pour lui et que je ne savais pas s’il finirait par se relever. C’était la première fois que je vivais ce genre de situation et ce n’était réellement pas agréable. Alors, je pris une grande inspiration pour éviter de m’énerver davantage. « Pourquoi vous avez fait ça ? Vous n’êtes réellement pas au mieux de votre forme. Vous n’auriez pas dû… » Cette fois c’était l’inquiétude qui parlait. Est-ce qu’il était réellement remis sur pied ? Pouvait-il continuer de marcher jusqu’à l’hôpital ? Je l’espérais sincèrement.
(c) DΛNDELION
Max Dillon
Date d'inscription : 19/07/2023 Pseudo : Numéro 8. Je ressemble à : Anthony Carrigan. Je suis aussi : Fait partie des Sinister Six d'Harry Osborn, a déjà été volé par Felicia Hardy, est un mutant tout comme David Haller. Messages : 46 Dollars : 240
The night is never over. « Hmmm… Je promets rien ! »
Max était un véritable moulin à parole. Voilà un autre point commun qu’il partageait avec une certaine araignée qu’il préférait en l’instant chasser de son esprit. Après, lors de cette séance, il risquait de porter toute son attention sur les longs métrages. Cela faisait quoi ? Deux ans ? Trois ans ? Son temps d’incarcération au Raft était si brumeux, il n’arrivait pas à savoir combien d’années avaient passé alors que sa conscience vacillante lui était presque enlevée. Il ne doit absolument pas retourner dans cette prison de haute sécurité. Heureusement qu’Amy était bien coopérative. Il aurait été à la charge d’une autre infirmière, les menottes seraient déjà à son poignet. La chance lui a donc souri pour la première fois de sa vie.
N’était donc pas normal qu’il fasse quelque chose pour la jeune femme. Bien des adjectifs siéent à Max mais ingrat ne fait pas partie de la liste. Alors, un blast en direction d’un petit avorton qui a cru bon de s’attaquer à Electro ce n’est pas grand-chose. Bon, il a fini au sol car encore bien trop faible. Mais… On a vu pire, il a vu pire. Il s’en sortirait comme toujours.
« Aie ! Ça va pas !? »
Le criminel s’exclama. Ce n’était qu’une petite tape innocente mais lorsqu’on est déjà bien amoché, un rien peut vous faire du mal. Il survivrait bien entendu. Le problème étant plutôt qu’il ne comprenait tout bonnement pas la réaction d’Amy.
« Je vous ai pas visé, fallait pas avoir peur ! Je suis un professionnel, je sais faire des blasts ! »
Il imaginait bien que l’infirmière n’était pas habituée à ce genre de confrontation mais tout de même. S’effrayer pour si peu ? Il jugeait avec ses standards bien trop élevés. Vu son enfance, rien ne pouvait terrifier Max, il avait l’impression d’avoir tout vécu.
« Vous êtes inquiétée pour moi ? »
Voilà peut-être une expérience inédite pour le super-vilain, quelqu’un qui s’inquiète pour lui. Personne ne l’aime. Littéralement, il n’a pas d’ami à part éventuellement le vautour qui reste un criminel donc pas entièrement digne de confiance et Takuya qui ne connait pas son passé judiciaire. Il n’avait jamais eu de petites amies que des coups d’un soir sans importance et sa famille nous allons même pas aborder le sujet. Alors, qu’Amy s’inquiète ostentoirement pour lui. Il ne savait pas vraiment comment réagir.
« Je gérais, je l’ai fait parce que… ben… pourquoi pas surtout que cet abruti a cru bon de s’attaquer à moi ! »
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Amy Davis
Date d'inscription : 16/07/2023 Pseudo : pumpkin. Je ressemble à : Katherine McNamara. Je suis aussi : A survécu à une chute mortelle avec Gwen. Part danser le soir en compagnie d’Alice. Participe à des courses de voiture avec Lizzy. Est sortie des années quarante en compagnie d’Aly. S’est retrouvée congelée au côté de Captain America. Se balance de toile en toile avec Spidey. Partage sa vie avec un symbiote tout comme Eddie. Se fait battre à la course par Pietro. Part souvent en mission avec Lucy. Est corrompue avec June. Messages : 43 Dollars : 173
« I can see all the fears you face though a storm that never goes away. Don’t believe all the lies that you’ve been told. I’ll be right here now to hold you when the sly falls down. »
« Je vous promets que, si jamais vous vous amusez à raconter quelque chose sur chaque scène, j’arrête tout et je ne regarderai jamais Star Wars. » Est-ce que cela allait le convaincre de se tenir à carreaux et, surtout, de se taire pendant une grande majorité du film. Je l’espérais fortement. Après tout, n’avais-je pas décidé de regarder ces films uniquement pour satisfaire l’homme qui se tenait en ce moment même à mes côtés ? Après tout, ces arguments pour que je regarde, enfin, la série étaient plutôt convaincants. Cependant, j’avais toujours rechigné à l’idée de me lancer car je savais très bien que je ne risquais pas de comprendre grand-chose à cette histoire. J’avais déjà essayé de regarder le premier film et je m’étais assoupie au bout des cinq premières minutes. Depuis, je n’avais jamais renouvelé l’expérience. Cependant, est-ce que l’on pouvait dire que j’avais regardé Star Wars en ayant vu à peine les cinq premières minutes du premier épisode ? J’en doutais fortement. De plus, quand on avait essayé de me vendre l’histoire pour me convaincre de regarder la saga, je n’avais jamais réellement compris de quoi il en retournait réellement. J’avais l’impression de me perdre dans des explications et j’avais vite abandonné. Alors, non, il était hors de question que Max parle tout le long du film. Et c’était certainement trop demandé pour lui qui était un véritable moulin à paroles.
Néanmoins, j’appréciais tout de même toutes nos conversations. Même s’il n’arrêtait pas de parler, il faut dire qu’il m’amusait parfois à se montrer autant passionné par un sujet. Et, il faut le dire, j’appréciais aussi qu’il partage toutes ces connaissances sur la pop culture. Et j’aurais préféré que cette conversation continue plutôt qu’un type vienne m’arracher mon sac et tente de fuir en courant. Max avait immédiatement réagi. Pour le coup, je ne pouvais pas lui en vouloir, mais il était tout de même tombé inconscient sur la chaussé. J’avais totalement paniqué, et, lorsqu’il avait fini par se relever d’un bond, je n’avais pu m’empêcher de lui donner une tape sur l’épaule. Et il se plaignait réellement que je l’ai frappé ? En soit, mon geste n’avait rien de méchant et je ne l’avais même pas frappé fort. Ce n’était qu’une légère tape. Et, surtout, je pense qu’il ne comprenait tout simplement pas pourquoi j’avais réagi de la sorte. Cependant… « Je n’ai jamais dit que j’avais eu peur car vous n’étiez pas capable de faire des blasts ! Je le sais très bien que vous n’êtes pas non plus à la ramasse ! Mais vous étiez inconscients ! » Ce qui était vrai. Je savais de quoi Max était capable et je ne niais nullement le fait qu’il savait ce qu’il faisait.
« Bien évidemment que je me suis inquiétée. » C’était une autre vérité. Oui, je m’étais réellement inquiétée pour lui. En même temps, il y avait de quoi ! Je l’avais retrouvé complètement à la ramasse dans mon appartement, et il n’aurait certainement pas pu le quitter si je n’avais pas eu mes pouvoirs. Et, maintenant, je l’accompagnais car j’avais eu peur qu’il tombe en chemin. Comme quoi, j’avais eu raison. Peut-être que le coup de jus que je lui avais donné avant de partir n’avait pas été assez puissant et, peut-être, n’aurait-il pas tenu jusqu’à l’hôpital. Bon sang, pourquoi ce dernier avait-il réagit ? « Il s’en est pris à vous ? Vraiment ? » J’avais haussé un sourcil lorsqu’il avait prononcé ces mots. Mais enfin, qu’est-ce qu’il racontait ? « Tout ce qu’il voulait, c’était mon sac à main. Il ne s’en est pas pris physiquement à vous. » Mais enfin, comment pouvait-il dire que cet individu s’en était pris à lui ? Il ne lui avait strictement rien fait. Ou alors, il y avait quelque chose que je ne comprenais pas et, dans ce cas précis, il faudrait peut-être qu’il m’explique.
(c) DΛNDELION
Max Dillon
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The night is never over. « D’accord ! C’est vous qui perdez au change, j’ai plein de superbes anecdotes ! »
Max dut bien accepter qu’Amy refuse d’entendre toutes ses anecdotes sur la saga Star Wars durant leurs futurs visionnages ensemble. Il devait en avoir au moins une centaine qu’il aurait été ravi de partager ! Mais bon, tout le monde ne peut apprécier un tel étalage de culture. Il se demandait bien quel sujet pouvait passionné l’infirmière. Aux premiers abords, elle ne semblait pas être une fan de pop culture (dommage pour elle). Tout le monde a une passion, pas vrai ? La rousse n’était pas qu’une infirmière qui sortait uniquement pour travailler et aller au bloc opératoire. Toutes ces questions ne devraient même pas efflorer son crâne. Si le lui de passé s’écoutait lui-même penser, il se mettrait sans doute une dizaine de grosse claque pour qu’il puisse se ressaisir. La compagnie d’Amy ne devait qu’être utilitaire et rien d’autre.
Pourtant, le criminel n’avait pas hésité à s’épuiser davantage pour récupérer le sac de la jeune femme. Il se savait nullement ingrat. Qu’il était normal de rendre la pareille après un service. Mais, si Max laissait son esprit s’y pencher plus longuement, l’acte semblerait presque désintéressé.
« Mais être inconscient c’est comme une seconde nature pour moi, ça arrive tout le temps ! »
En tant que criminel, Max avait bien trop l’habitude finir inconscient. La plupart du temps, s’était après de lourdes blessures qu’il devait soigner lui-même en mordant fortement dans un bout de bois et en priant qu’il n’y est aucune hémorragie interne ou infection. Donc, oui ces petites secondes de perte de connaissance ne l’avaient pas effrayé plus que cela. Néanmoins, cela ne fut pas le cas d’Amy qui clama son inquiétude. Le criminel ne savait pas vraiment comment réagir en apprenant une telle information. C’était bel et bien la première fois que cela lui arrivait. Il avait l’habitude comme si demain n’existait en ayant que fi des retombés et parfois même de si oui ou non exercer cette action pourrait être trop dangereuse pour sa personne. Mais là, l’infirmière lui faisait bien comprendre qu’elle ne désirait pas le savoir en mauvaise état et pour réponse, Max ne put offrir son plus beau visage perdu sous l’incompréhension. Fronçant les sourcils, plissant les yeux, Electro ne savait tout simplement pas quoi répondre.
« C’est un truc de criminel, courir à proximité de la sorte en bousculant presque c’est… hum… prohibé ! »
La conversation dériva fort heureusement dans terrains biens plus connus par Max. Celui de trouver des excuses à son comportement étrange. Il faillit dire à Amy qu’une simple bousculade était en temps normal suffisant pour signifier une rétribution des plus mortels mais il s’abstint à la dernière seconde, préférant ne pas rentrer dans les détails.
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