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 When I see you again. | ft. Rebecca Barnes

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Steve Rogers
Steve Rogers

Date d'inscription : 28/07/2023
Pseudo : pumpkin.
Je ressemble à : Chris Evans.
Je suis aussi : A survécu à une chute mortelle avec Gwen. Part danser le soir en compagnie d’Alice. Participe à des courses de voiture avec Lizzy. Se retrouve à l’hôpital sous la surveillance d’Amy. Est sortie des années quarante en compagnie d’Aly. Se balance de toile en toile avec Spidey. Partage sa vie avec un symbiote tout comme Eddie. Se fait battre à la course par Pietro. Part souvent en mission avec Lucy. Est corrompue avec June.
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Message Sujet: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyDim 24 Sep 2023 - 0:50

When I see you again.

« It’s been a long day without you my friend. And I’ll tell you all about it when I see you again. We’ve come a long way from where we began. Oh I’ll tell you all about it when I see you again. »
C’était la fin. Nous étions le 8 mai 1945 lorsque nous apprenions la nouvelle : l’Allemagne avait capitulé. La guerre était bel et bien terminée. Des cris de joies se faisaient entendre. Dans les rues, on célébrait la victoire des alliés. Il n’y avait rien de plus satisfaisant. Et notre mission à nous était terminée également. Avec la fin de l’Allemagne nazie, HYDRA tombait. Elle n’avait plus de raisons d’être et nous n’avions plus de raisons de rester. Il fallait qu’on rentre au pays. Surtout que, de ce que je savais, nous étions attendus là-bas. Ça n’aura pas été un chemin facile à parcourir. Je n’avais été, pendant qu’un temps, le petit gars de Brooklyn, celui qu’on refusait à chaque fois qu’il essayait de s’engager. Sans Abraham Erskine, je doute que j’aurais rejoint les rangs de l’armée. Il m’avait laissé ma chance et j’étais devenu celui qu’on appelait aujourd’hui Captain America. Même si, au début, j’étais condamné à enchaîner les spectacles, chose qui n’était absolument pas prévu, c’est lors d’une tournée en Europe que j’ai finalement pris la place que j’avais tant espéré en allant sauver mon meilleur ami. C’est comme ça que j’ai commencé à affronter HYDRA et, surtout, Crâne Rouge.

La route n’avait pas été simple. Formant les Commandos Hurlants, j’avais eu le plaisir d’avoir Bucky à mes côtés dans chacune de mes missions. Même si je failli perdre ce dernier lorsque nous étions dans ce train. J’avais attrapé sa main avant qu’il ne soit trop tard. Je n’ose imaginer ce qu’il se serait passé si je l’avais regardé tomber, totalement impuissant. Je ne voulais pas rentrer pour annoncer à Becca la mort de son frère. Et je ne voulais pas, non plus, affronter le regard d’Aly. Déjà que cette dernière avait toujours été contre le fait que l’on s’engage, je ne voulais pas lui dire que la guerre avait eu raison de l’un d’entre nous. Enfin… J’aurais pu également y passer. Tentant d’empêcher le crash d’un avion, j’avais réussi à le faire se poser de justesse et d’éviter une explosion détruisant toute une ville. Oui, nous avions réussi à défaire Crâne Rouge. Oui, la Seconde Guerre mondiale était à présent terminée. Et, maintenant, tout ce que nous avions à faire, c’était de rentrer à la maison. Notre patrie nous attendait et, surtout, deux jeunes femmes et il fallait qu’on les revoie.

Poser le pied sur le sol américain fut un grand soulagement. Enfin nous étions à la maison et nous pouvions laisser cette guerre derrière-nous. Nous avions mérité un peu de repos. Sans plus attendre, je m’étais rendu dans mon ancien appartement, celui où j’avais vécu avec ma mère pendant des années. J’avais retrouvé Aly, qui était toujours ma voisine. Cette dernière m’avait confié qu’elle s’était beaucoup rapprochée de son père pendant mon absence et qu’ils avaient, à présent, selon ses dires, une véritable relation père/fille, chose qu’elle n’avait jamais eu. On resta un long moment à discuter de tout et de rien. Elle ne posait pas trop de questions sur ce qu’il s’était passé en Europe. La connaissant, elle attendait surtout que je lui en parle de moi-même, ne voulant pas me faire revivre un éventuel traumatisme. Comment lui reprocher ? Elle avait toujours été ainsi, à s’inquiéter pour les autres et respecter leur vie privée, sans poser de questions qui pourraient lui paraître totalement désobligeante. Néanmoins, quand je commençais enfin à lui raconter ce qu’il s’était passé là-bas, elle tenta deux ou trois questions sur le sujet, et j’y répondis sans rechigner.

Elle était restée dormir à la maison, comme elle le faisait de temps en temps à l’époque quand nous passions des soirées à discuter. Je l’avais toujours vu comme une sœur et je m’étais toujours demandé pourquoi elle ne s’installait pas définitivement avec ma mère et moi. Maintenant, je me dis qu’elle a bien fait de continuer à vivre chez ses parents malgré les disputes continuelles de ces derniers. Elle avait eu la chance de pouvoir enfin en savoir plus sur son père et, il semblait connaître sa fille malgré tout. Il n’y avait pas à dire, son père me surprenait vraiment. Et dire qu’il l’avait emmené voir les soldats partant à la guerre. Juste pour qu’elle puisse dire au revoir à Bucky. Pour le coup, ce dernier m’étonnait réellement. Comment avait-il pu voir ce que l’on savait sans pour autant être réellement présent dans la vie de sa fille ? Bon, il est vrai que, quand Aly n’était pas chez moi, c’est moi qui venais chez ses parents. Et, il faut dire, ça m’était déjà arrivé de venir une ou deux fois avec Bucky. Était-ce lors de nos venus qu’il avait perçu quelque chose ? Je ne le saurais certainement jamais et je n’oserais pas lui poser la question. Après tout, ça ne me concernait absolument pas.

Lorsque je quittais mon appartement, la porte de la chambre qu’Aly avait à la maison était toujours close. Je me doutais que ma meilleure amie dormait toujours, cependant, nous pas que je ne voulais pas l’attendre, mais j’avais quelque chose d’important à faire. J’avais déjà retrouvé ma meilleure amie, maintenant, il fallait que j’aille retrouver Becca. Il fallait réellement que j’aille la voir et que je lui dise que tout allait bien. Même si je pense que Bucky s’en était déjà chargé. Après tout, il avait dû retrouver sa sœur à peine nous étions rentrés. Cependant, moi aussi je voulais la revoir et je n’allais pas attendre plus longtemps. Sans plus attendre, je m’étais dirigé vers leur lieu d’habitation. Et je ne tardais pas longtemps avant de l’apercevoir. Elle venait tout juste de sortir de chez elle quand je l’interpellais tout en la saluant de la main. « Salut, Becca ! » J’étais réellement content de la revoir.
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Rebecca Barnes
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Je suis aussi : Se balance de toile en toile avec Spiderman, veut regner sur le monde avec Loki, essaye de ne pas perdre le controle comme Wanda, a ete torturer par hydra comme James, aime se transformer en animal au cote d'Isabella, enerve un symbiote au cote d'Angelica, a le coeur aussi froid qu'Amelia, a ete la fille de Thanos comme Nimue, est un membre d'Hydra au cote de Dragen, controle les dix anneaux avec Shang
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Message Sujet: Re: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyMar 26 Sep 2023 - 23:18


When I see you again

When you come back home, I will say it. I love you Steven Grant Rogers


Lorsque cette guerre avait été déclenchée, je n’avais eu qu’une seule peur et s’était bien que les deux hommes que j’aimais le plus au monde s’y engagent. Et malheureusement, mon aîné l’avait fait en premier. Je me souvenais encore de la dernière soirée qu’il avait passée aux États-Unis, en plus du lendemain matin, ou je n’avais pas osé dire un seul mot, avant qu’il ne quitte la demeure ou nous avions toujours vécu depuis que nous étions que des gamins. Je l’avais observé quitter la maison, impuissante de pouvoir faire quoi que ce soit. Et, j’en avais pleuré pendant si longtemps que ce dernier soit parti de la sorte, bien qu’il m’avait promis de revenir, en m’interdisant presque de me rendre à la gare pour véritablement pouvoir lui dire au revoir. J’avais compris ces raisons, mais je n’avais tout de même pas aimé cette interdiction de sa part. J’étais donc rester dans cette maison vide, pendant si longtemps, que je ne pouvais même plus imaginer une once de bonheur dans ma vie. Surtout pas après que même Steve aille réussir à s’engager dans l’armée, grâce à un certain scientifique, je n’avais pas trop compris ce qui s’était dérouler en fait. Pendant des semaines, j’avais été inconsolable, mais j’avais fini par remonter la pente, terminant mes études en tant qu’infirmière, un métier que j’avais toujours voulu faire. Mais je n’avais jamais réellement mentionné pourquoi j’avais pris ces cours, et lorsque j’avais annoncé à ma meilleure amie que je me rendais aussi sur le front, ou du moins un camp de l’armée, pour y être infirmière, elle m’en avait voulu. Mais je voulais m’assurer que les deux hommes qui nous étaient chers allaient bien.



Une chance que j’avais prise cette décision, puisque c’est ainsi que je pus apprendre que mon frère avait été fait prisonnier de l’ennemi. Et je ne pouvais rien faire pour le sauver loin de là, au lieu de cela, j’avais eu le cœur détruit par cette nouvelle. Jusqu'à ce que ce dernier ne revienne. Mais tout ceci n’était que le passé, puisqu’à présent, la guerre était enfin terminée et nous avions gagné. Non, pas que je me souciais réellement du déroulement de toute cette violence, tout ce que je voulais était de revoir James ainsi que Steve. Tout ce qui m’importait était de pouvoir les revoir en vie. Et puisque je n’avais pas reçu de lettre me disant que mon frère était tombé au combat, je ne pouvais que croire que ce dernier allait rentrer d’un jour à l’autre. Juste de ne rien savoir de ce qui s’était réellement passé sur le front, me rendait nerveuse. Et si aucun des deux ne revenait ? Et si, j’allais finir par recevoir cette visite que je ne voulais absolument pas avoir ? Celle ou on allait m’annoncer que la seule famille qu’il me restait n’allait jamais rentrer à la maison ? Puisque même si je les avais suivies un moment avec le commando hurlant, j’avais fini par devoir les quitter, puisque James m’en avait fait mention, qu’il était temps que je rentre à la maison, tout en me promettant une fois de plus qu’il allait rentrer à la maison avec Steve. Et que j’allais pouvoir enfin être heureuse de nouveau.



Mais à présent que j’attendais dans cette demeure toujours aussi silencieuse, qu’elle avait pu l’être durant les dernières années, je commençais à réellement croire que plus jamais je n’allais les revois. Jusqu'à ce que j’entende la porte d’entrée ouvrir. Relevant mon regard de sur mes mains, puisque j’étais nerveuse, inquiète, enfin, je n’allais pas super bien, j’avais pu remarquer le visage de mon aîné dans le cadre de la porte. Et je n’avais pas hésité une seule seconde à aller lui sauter au cou, il était vraiment revenu. Il était enfin là, je n’étais plus seule. Durant une grande partie de la nuit, je n’ai guère pu m’empêcher de poser des millions de questions à ce dernier, qui n’hésita pas à me répondre, et même à rire de ma façon d’agir, comme toujours. On avait tellement discuté, que je m’étais endormi sur le divan, mais en me réveillant, je fus surprise de me retrouver dans mon lit.


M’étirant, il était temps que je sorte de la maison, James m’avait bien mentionné que Steve était aussi de retour de la guerre, et je ne pouvais plus attendre une seule seconde pour aller le rejoindre. Je l’aurais bien fait hier soir, mais mon frère était quelqu’un d’important pour moi, et avec la peur que j’avais eu qu’il ne revienne pas, je ne pouvais pas simplement ignorer son retour, ainsi que démontrer à quel point j’étais heureuse de le retrouver, de ne plus être seule dans la maison ou nous avions grandit tous les deux. Donc je me levai de mon lit, avant de me changer, pour enfiler une robe d’été légère, puis en sortant de ma chambre, je pus apercevoir un message laisser par mon aîné, qui me disait qu’il avait un truc important à faire. Comme si je n’allais pas comprendre qu’il allait aller rendre visite à ma meilleure amie, pour enfin être honnête envers elle, et tout lui dire, ce que je savais déjà. Qu’il l’aimait. Mais ce n’était pas le temps pour que je pense aux sentiments que pouvait éprouver mon frère pour ma meilleure amie, il fallait que moi-même je rassemble mon courage, pour faire ce que je m’étais promis de faire si un jour Steve revenait de la guerre, et que je lui avoue l’amour que je lui portais, depuis le tout premier jour, lorsque James nous avaient présente.


Alors que je sortis enfin de la maison, que ne fus pas ma surprise de voir qu’il était là devant moi. Avait-il eu la même idée que moi ? Faut croire que oui. Ainsi, je n’avais pas à faire le trajet jusqu'à chez lui, bien que cela ne me dérangeait pas plus que cela. J’étais prête à aller au bout du monde, s’il le fallait. Voilà, à quel point je voulais lui dévoiler ce que j’avais toujours tenté de cacher, mais que mon frère et ma meilleure amie avaient bien vite compris. Puisque je n’étais peut-être pas si discrète que cela, avec mes sentiments pour le soldat qui était devant moi. Un sourire s'afficha bien vite sur mes lèvres, avant que je ne fasse que dire.


- Steve !



Puis que j’accours vers lui, pour lui sauter au cou comme j’avais fait avec mon frère la veille. J’étais plus qu’heureuse d’enfin pouvoir le revoir, il m’avait tellement manqué durant les dernières années. A présent, il ne me restait plus qu’à tout lui avouer, mais j'ignorais encore comment aborder ce genre de sujet, n’ayant jamais été amoureuse avant. Il était le seul que j’avais aimé jusqu'à aujourd’hui.
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Steve Rogers
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Message Sujet: Re: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyMer 27 Sep 2023 - 1:00

When I see you again.

« It’s been a long day without you my friend. And I’ll tell you all about it when I see you again. We’ve come a long way from where we began. Oh I’ll tell you all about it when I see you again. »
Oui, j’avais été heureux de retrouver ma meilleure amie. Je savais que cette dernière avait certainement attendu mon retour pour savoir comment j’allais, même si elle n’osait poser trop de questions. Bien au contraire, elle était plutôt du genre discret sur le sujet. Tel que je la connaissais, je savais qu’elle n’oserait poser davantage de questions, se demandant si elle ne pourra pas me faire revivre un quelconque traumatisme. Certes, cette guerre avait été dévastatrice et ce qu’on apprenait sur le traitement fait à certains humains était plus qu’horrifiant. Cependant, j’avais tout de même été légèrement préservé cet aspect de la guerre dans ma lutte contre HYDRA. Bien évidemment, le régime de l’Allemagne avait été un réel problème, cependant, il faut dire que son organisation scientifique était loin d’être un enfant de cœur, bien au contraire. HYDRA rassemblait des personnes de la pire espèce sous l’égide de Crâne Rouge. C’est contre eux que j’avais mené mon combat et j’avais dû en faire part à ma meilleure amie. J’avais vécu une tout autre guerre et je voulais qu’elle en ait conscience. C’est, certainement, parce que je parlais avec elle librement de la situation qu’elle finit par me poser davantage de questions. Je savais qu’elle devait en avoir et j’avais bien content qu’elle prenne enfin sur elle pour les poser. Je savais que, plus je lui parlais du front, plus ce serait des interrogations qu’elle ne poserait pas à mon meilleur ami car, oui, je savais également que ces deux-là finiraient par se voir le lendemain, j’en étais persuadé.

Nous nous étions couchés tard. Il y avait tellement de chose à dire, à raconter, que nous n’avions pas vu le temps passer. Cependant, je savais que, le lendemain, j’irais retrouver une femme qui comptait tout autant qu’Aly. J’avais envi de la revoir et je savais que j’aurais du mal à m’endormir, pensant au moment où je pourrais enfin la prendre dans mes bras. Car, oui, j’attendais tout de même ce moment. Je savais que cette dernière n’était pas totalement indifférente à mon égard. Après tout, ça se voyait et il faudrait réellement être un idiot pour ne pas s’en rendre compte. Quoi qu’il en soit, si je n’avais jamais rien dit et que je n’avais jamais rien tenté par rapport à elle, c’était certainement parce que je me souciais de ce que pouvait penser Bucky. Comment pourrais-je savoir ce qu’il pensait de toute cette situation ? En vérité, je n’avais jamais pris le temps de lui en parler et, en même temps, je n’étais pas totalement persuadé qu’il soit ouvert à la discussion. Il avait toujours été si protecteur envers sa sœur que je n’avais jamais réellement osée lui en parler. Aurais-je du ? Car aujourd’hui, je ne comptais pas le concerter pour aller voir sa jeune sœur.

J’étais sorti de mon appartement après m’être préparé en ayant pris soin de ne pas réveiller ma meilleure amie. Et, sans plus attendre, je m’étais mis en route vers le domicile des Barnes. Quelle fut ma surprise de voir Becca sortir de chez elle alors que j’arrivais. Un sourire se dessina sur mes lèvres alors que je la saluais tout en continuant d’approcher. Voir son sourire s’afficher sur ses lèvres me rempli de joie alors que je la réceptionnais en l’entourant de mes bras lorsqu’elle se jeta à mon cou. Je l’enlaçais, bien trop heureux de l’avoir dans mes bras à présent. Déposant un léger baisé sur sa tempe, je ne pus m’empêcher de lui dire : « Je suis content de te revoir, Becca. » C’était une vérité. J’étais heureux de la retrouver. La guerre était terminée et j’étais bien content de pouvoir rentrer au pays. Au moins, je pourrais rattraper le temps perdu à ses côtés. Oui, j’en étais bel et bien décidé. Mais, en attendant… « Comment est-ce que tu vas ? » J’imaginais qu’elle devait aller bien. Après tout, Bucky et moi étions rentrés, comme promis.
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Message Sujet: Re: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyDim 1 Oct 2023 - 20:20


When I see you again

When you come back home, I will say it. I love you Steven Grant Rogers


Lorsque j’avais entendu dire que la guerre était enfin terminée en Europe, je dois avouer que je n’y avais pas cru sur-le-champ. Comme si le fait que celle-ci pouvait être enfin terminé, n’était qu’un simple rêve, une simple illusion pour que je puisse retrouver le sourire. Puis en voyant certain de mes voisins revenir auprès de leurs femmes, je commençai à plus vouloir y croire. Mais bien que cette guerre fût terminée, est-ce que la chasse au cotes scientifique de cette guerre était réellement terminer ? Puisque je n’avais aucune nouvelle de mon frère qui lui se battait sur un tout autre front que la guerre principal. J’ignorais s’il était toujours en vie, ou s’il s’était passé quelque chose d’épouvantable. Je m’attendais simplement à recevoir une lettre, ou encore une visite qui allait m’annoncer la mort de mon aîné, puisque je pouvais voir que la plupart des soldats, qui étaient partis le même jour que James, de notre quartier était de retour, mais pas lui. Mais j’eus la surprise que ce dernier ouvre la porte de la demeure de nos parents, hier soir, et je ne pouvais en être plus heureuse que cela. Pendant une longue partie de la nuit, je l’avais questionné sur tous les sujets possibles, et ce même si je croyais qu’il n’avait guère voulu m’en parler. Que la guerre aurait pu le changer. Il n’en fut pas moins cachottier que je l’aurais cru. Au lieu de cela, il avait pris la peine de me raconter ce qu’il avait vécu, sauf le moment où il avait été enlevé par l’ennemi. Mais je n’osai même pas lui poser des questions sur le sujet, je savais que ce dernier n’allait rien me dire. Du moins, pas temps qu’il serait à l’aise d’en parler. Et pour le moment, je savais qu’il n’était pas prêt à en parler. Enfin, pas à moi. Il en avait s’en doute parler avec Steve. Mais en ce qui me concerne, il pensait sans aucun doute que j’allais craquer sur ce genre de révélation, donc je n’avais guère poussé plus loin pour ce genre de question.




Et puis, de toute manière, j’avais fini par m’endormir alors qu’il me parlait encore. Et lorsque je m’étais réveillé, il n’était plus dans la maison. Non, il m’avait laissé une note, disant qu’il avait quelque chose à s’occuper et juste ce mot m’avait bien fait rire. Comme si je ne savais pas ce qu’il était réellement faire, j’allais s’en doute le taquiner à son retour. Mais pour le moment, j’avais quelque chose à faire moi-même, quelque chose que j’avais assez repoussé dans le temps. Trouvant toujours une bonne raison pour reculer, mais à présent, je ne pouvais plus hésiter. Je ne pouvais pas reculer de nouveau, ou même trouver une raison des plus ridicules pour ne pas aller tout révéler a celui qui détenait mon cœur. Parce que j’avais beau traiter mon frère d’idiot, j’en étais une aussi. J’avais tellement repoussé cet amour que je pouvais ressentir pour mon meilleur ami, que j’avais fini par me faire du mal toute seule. Et si, il n’était jamais revenu de la guerre ? James m’avait posé la question hier soir, et je n’avais pas su quoi lui répondre. Même si je connaissais la réponse, j’aurais été inconsolable. J’aurais eu le cœur détruit, et j’aurais regretté pour le reste de mon existence de n’avoir jamais rien dit.




Donc lorsque j’étais sortie de chez moi, dans la ferme intention d’aller tout dévoiler, je fus bien surprise de voir ce dernier devant la maison. Mais en même temps, ce n’était que complètement normale, James m’avait bine mentionner que ce dernier était de retour aussi, et puis nous étions amis, il était bien normal qu’il vienne me voir non ? Mais le voir là devant moi, fit battre mon cœur plus rapidement comme toujours, et je n’avais pas hésité une seule seconde avant de courir vers lui, pour lui sauter au cou, comme j’avais fait avec Bucky la veille. Je ne pouvais pas être plus heureuse que là, dans ses bras de nouveau, bien que je rougis comme toujours au baiser qu’il déposa sur ma temple. Que voulez-vous ? J’allais toujours agir de la même façon celui-ci, ce n’était pour aujourd’hui que j’allais changer non ? Qu’il me dise qu’il était heureux de me revoir, me fit chaud au cœur, et je déposai un léger baiser sur sa joue, avant de me décoller de ce dernier.



- Je suis heureuse de te revoir aussi.




Devais-je me lancer toute de suite sur mes raisons d’avoir voulu aller le rejoindre ? Ou attendre un peu ? Je ne savais pas trop comment aborder ce sujet, et maintenant qu’il était devant moi, je figeai comme toujours. J’avais cette crainte qui remontait dans mon esprit, qu’il ne me voie que comme la petite sœur de James et rien d’autre. Donc qu’il me demande comment j’allais, me sortit de mes pensées en un instant.



- Mieux, maintenant que toi et James êtes revenu de la guerre. Mais toi, comment vas-tu ?
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Message Sujet: Re: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyMer 11 Oct 2023 - 21:55

When I see you again.

« It’s been a long day without you my friend. And I’ll tell you all about it when I see you again. We’ve come a long way from where we began. Oh I’ll tell you all about it when I see you again. »
J’avais voulu participer à cette guerre et je l’avais fait. Ça n’avait pas été une chose aisée de se faire enrôler dans l’armée. J’avais longtemps essayé, mentant même sur mon dossier. Je savais que je risquais gros, pourtant, je n’avais eu de cesse d’essayer. Et j’avais fini par obtenir gain de cause le soir de la Stark Expo. Je ne savais pas dans quoi je m’engageais réellement, cependant j’étais bien trop heureux de pouvoir partir en Europe. Enfin, c’est ce que j’avais cru pouvoir faire dans un premier temps. Puis, j’étais devenu Captain America et ça n’a pas été la vie que j’avais rêvé de mener. Il avait fallu attendre une tournée en Europe et, surtout, savoir mon meilleur ami prisonnier, pour que j’intègre réellement l’armée, créant mon propre commando et luttant sur un tout autre front que tous ces Américains partis pour l’Europe. HYDRA fut mon principal ennemi au cours de cette guerre. Je savais que je ne luttais pas sur le même front et je ne savais pas si, quand la guerre s’achèverait, si mon combat le serait tout autant. Pourtant, il semblerait que ce fut réellement le cas car, quand la fin de la guerre fut proclamée, HYDRA semblait avoir disparu. Nous pouvions rentrer au pays et c’était tout ce qui m’importait. Après tout, il y avait deux jeunes femmes que j’étais impatient de revoir.

Lorsque j’étais rentré la veille, je n’avais pu m’empêcher de rendre visite à Aly. Je savais que Bucky irait retrouver sa jeune sœur et je me disais que je pourrais très bien aller la voir demain matin. Chose que je fis, évidemment. Je n’avais pas attendu une minute de plus pour me préparer et prendre la direction de la maison de mon meilleur ami. J’étais impatient de retrouver Becca. Même si j’avais eu la chance de la croiser une fois en Europe alors qu’elle était infirmière. Néanmoins, ça ne m’avait pas réellement plu de la retrouver là-bas. Elle avait beau être dans le camp, elle n’était pas en sécurité pour autant. Si l’ennemi décidait d’attaquer, elle pouvait se retrouver en première ligne et, d’un côté, ça m’avait toujours inquiété. La fin de cette guerre avait été un réel soulagement. Au moins, j’étais certain qu’elle ne risquait pas de retourner en Europe pour venir en aide aux soldats blessés. Elle était en sécurité ici et c’était bien mieux ainsi.

J’avais fini par la retrouver alors qu’elle venait de quitter son domicile. Et, très vite, elle était venue me prendre dans ses bras et je l’entourais des miens. J’étais réellement heureux de la revoir et je ne tardais pas à lui en faire part avant de lui demander comment elle allait. Sa réponse ne me surprit guère. Bien au contraire, elle avait la même réponse qu’Aly la veille. Elle allait mieux depuis qu’elle savait que nous étions revenus sains et saufs. J’imagine que ce devait être une véritable angoisse, chaque jour. Aucune des deux ne savaient ce qu’il se passait réellement en Europe et nous n’avions aucun contact. C’était une situation plus que compliquée et j’imaginais réellement le soulagement des deux jeunes femmes de nous savoir de retour. « Je vais bien. Je suis content d’être rentré au pays et, surtout, de te retrouver. » Il n’était réellement pas nécessaire d’ajouter Aly à l’équation. Après tout, il était évident que j’étais bien content de retrouver celle que j’avais toujours considéré comme ma sœur. « Tu t’apprêtais à aller quelque part ? Tu veux que je t’accompagne ? » Je lui posais ces questions car, quand j’étais arrivé, elle était tout de même en train de sortir de chez elle. Peut-être allait-elle faire deux ou trois courses alors, pourquoi pas l’accompagner.
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Message Sujet: Re: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyDim 22 Oct 2023 - 0:37


When I see you again

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Lorsque j’étais sortie de chez moi, dans la ferme intention de faire ce que je m’étais promis de faire si un jour cette guerre se terminait et m’offrait la chance de pouvoir revoir Steve, je ne m’étais guère attendu à le voir débarquer. Il faut croire que nous avions eu la même idée, sans même en parler. Surtout qu’au départ, j’aurais voulu aller le voir dès le moment où mon frère était entré dans notre demeure, mais je ne pouvais pas ignorer que mon aîné était de retour aussi. Donc je m’avais promis qu’à la première heure le lendemain, je n’allais pas reculer une fois de plus sur ce que je me devais de faire, et ce, depuis bien des années maintenant. Et puis, passer ma soirée hier soir avec mon frère m’avait encore plus convaincu de faire les premiers pas, que plus j’y pensais, j’aurais dû poser avant qu’il ne soit engager dans l’armée et qu’il devienne ce Captain America. À présent, il pouvait avoir n’importe quelle femme qu’il voulait, plus aucune d'entre elle n’allait lui tourner le dos pour cause du fait qu’il était chétif. Il avait bien changer, j’avais pu en témoigner en étant dans le camp tout près du front. Mais il y avait autre chose que j’avais pu voir en étant là-bas, que je voulais oublier. Comme cette agente Carter. Non, ce n’était pas le temps que j’y repense.



Au lieu de cela, je m’étais précipité pour sauter au cou de mon ami, étant plus qu’heureuse qu’il soit revenu de son combat, mais surtout d’être revenu en vie. Il avait donc tenu sa promesse de revenir, et avec mon frère en plus de cela. Je ne pouvais pas en être plus heureuse en ce moment. J’avais tellement eu peur, surtout après qu’on m’aille renvoyer chez moi, je n’avais pas eu de nouvelles d’aucuns des deux pendant si longtemps. Que j’avais craint au pire des scénarios. Comme toujours. Mon imagination était toujours aussi fertile. Je lui fis donc la mention que j’allais beaucoup mieux depuis que je les savais enfin la maison, mais ceci, il devait s’en douter. J’avais toujours été inquiète pour ces deux-là, je leur avais mentionné a plusieurs reprise pendant que j’étais dans ce camp avec eux. Tellement qu’ils avaient sûrement dû en avoir marre de moi. Enfin, c’est ce que je croyais comme toujours, j’allais vers l’extrême. Lorsqu’il me mentionna qu’il allait bien, qu’il était heureux d’être rentré au pays et de me retrouver, je ne pus que rougir quelque peu. J’étais pourtant tellement sûr que ce dernier ne me voyait que comme la sœur de son meilleur ami, que je ne pouvais pas me retirer cette image de ma tête. Sauf que je ne m’attendais pas à ce qu’il me demande si je me rendais quelque part, et qu’il pouvait m’accompagner si tel était le cas. Je fus quelque surprise par cette question, et voilà que la gêne me gagne un moment. Comme si je ne savais plus quoi dire. J’ouvris la bouche, avant de la referme. Bon aller ! Je devais cesser d’être gêné de cette manière, ce n’est pas ainsi que j’allais réussir ce que je devais réellement faire aujourd’hui !


- En fait… J’allais chez toi, pour te voir et te dire quelque chose…



Baissant le regard, je sentis le rouge monter encore plus sur mes joues aux paroles que j’avais prononcées. Je ne pouvais donc plus reculer, mais je ne pouvais pas non plus lui dire là, dehors. Donc je pris une grande inspiration avant de demander.


- Et si on rentrait à l’intérieur ?


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Je suis aussi : A survécu à une chute mortelle avec Gwen. Part danser le soir en compagnie d’Alice. Participe à des courses de voiture avec Lizzy. Se retrouve à l’hôpital sous la surveillance d’Amy. Est sortie des années quarante en compagnie d’Aly. Se balance de toile en toile avec Spidey. Partage sa vie avec un symbiote tout comme Eddie. Se fait battre à la course par Pietro. Part souvent en mission avec Lucy. Est corrompue avec June.
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Message Sujet: Re: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyDim 22 Oct 2023 - 21:00

When I see you again.

« It’s been a long day without you my friend. And I’ll tell you all about it when I see you again. We’ve come a long way from where we began. Oh I’ll tell you all about it when I see you again. »
Je n’avais pas hésité une seule seconde ce matin en me réveillant. Je savais où je devais me rendre et je savais pourquoi je m’y rendais. Même si Aly avait dormi chez moi la veille, dans la chambre qui lui était réservée depuis que ma mère l’avait un peu prise sous son aile, je n’allais pas attendre son réveil pour me précipiter chez les Barnes. Je savais très bien que ma meilleure amie comprendrait. En vérité, elle connaissait déjà mes intentions. Elle savait que je risquais de partir voir Becca ce matin même. Aly était ma meilleure amie, elle savait tout de moi. Tellement qu’elle m’avait posé la question la veille. Elle m’avait demandé si je comptais aller voir Becca et, surtout, lui parler. Elle savait très bien ce que cette dernière ressentait pour moi. Il fallait être aveugle pour ne pas s’en rendre compte. Et elle s’était attendue à ce que je réponde par l’affirmative. Je ne pouvais rien lui cacher. Elle pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert, alors autant lui dire la vérité. Elle savait ce que j’allais faire ce matin. Elle savait très bien que, lorsqu’elle se réveillerait, je serais certainement déjà parti. Je ne comptais pas perdre une seule minute. Surtout que, connaissant ma meilleure amie, elle allait dormir comme un loir. Surtout vu l’heure à laquelle on s’était couché. Elle n’avait pas arrêté de me poser des questions et on avait veillé tard tellement on avait discuté.

Lorsque j’étais arrivé, je ne m’étais nullement à voir Becca sortir de chez elle. J’étais heureux de la revoir et de pouvoir la prendre dans mes bras. Je l’avais déjà recroisé sur le front, alors qu’elle était devenue infirmière. Il est vrai que de la savoir en Europe ne m’avait pas réellement plu. J’aurais préféré qu’elle reste en sécurité aux Etats-Unis plutôt que de quitter le pays pour se rendre sur le lieu du conflit. Je savais que, malgré le camp, nous n’étions pas à l’abri d’une attaque. Et, secrètement, j’avais craint pour sa sécurité. Et dire qu’Aly était, elle aussi, venue malgré mon interdiction. Elle avait voulu me suivre dans ma tournée, chose que j’avais évidemment refusé de lui accorder. Et elle s’était tellement montrée insistante que j’avais fini par céder. Les savoir toutes les deux aussi proches du front avait été un réel stress permanent. Je n’avais qu’une hâte à ce moment-là, qu’elles montent rapidement dans un avion pour retourner au pays. Tout ce que je voulais, c’était leur sécurité. Alors quand elles avaient fini par rentrer, j’avais été plus que rassuré. Et, maintenant, je pouvais enfin dire qu’elles ne craignaient plus rien car cette guerre était bel et bien terminée.

Cependant, une chose m’intriguait. Je me demandais où pouvait se rendre la jeune femme à une heure si matinale. Après tout, j’étais parti de chez moi tôt ce matin et je m’étais même demandé si je ne risquais pas de les déranger en arrivant si tôt. Je me demandais où elle pouvait se rendre et je ne tardais pas à lui proposer de l’accompagner. Si elle se rendait quelque part, je pouvais très bien m’y rendre avec elle et nous pourrions discuter sur le chemin. Et je ne m’étais nullement attendu à une telle réponse de sa part. Cette dernière me fit d’ailleurs sourire. « Comme quoi, les grands esprits se rencontrent. » Pour le coup, la situation était plutôt inattendue. Même si je me doutais qu’elle venait certainement me voir car elle avait attendu mon retour. Néanmoins, je me demandais ce qu’elle avait à me dire. « Ce sera toujours mieux que de parler sur le pas de la porte. Je te suis. » avais-je répondu tout en lui souriant.
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Message Sujet: Re: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyLun 23 Oct 2023 - 0:03


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S’il y avait une seule qui pouvait me rendre réellement heureuse en ce moment, était bien le fait que non seulement la guerre était bel et bien terminer. Mais en plus de cela, mon frère était revenu en un seul morceau, enfin si on ne comptait pas le fais qu’il avait été capturé par l’ennemi. Et que même lui ignorait encore quel genre d’expérience ils avaient fait sur sa personne. Mais ma réelle raison d’être aussi heureuse était que mon meilleur ami était aussi de retour, alors j’allais pouvoir enfin tenir la promesse que je m’étais faite à moi-même, lors de mon départ du camp pour rentrer à la maison. Il fallait réellement que je cesse de repousser l’évidence, il était vraiment temps que je lui avoue mes sentiments. C’était pour cette raison que je m’étais levé si tôt, et ce même si j’avais fini par m’endormir assez tard hier soir. Ou devrais-je dire ce matin ? Il faut dire que j’avais eu beaucoup de questions à poser a mon frère, et encore là, je n’avais pas eu toutes les réponses que je souhaitais avoir. Enfin, il y a un sujet ou deux sujets que je n’avais pas abordé avec lui, attendant qu’il soit plus à l’aise pour en parler de son propre gré. J’étais oui curieuse, mais en même temps, je devais la laisse respirée aussi. Revenir de la guerre n’était pas une chose facile, mais j’allais être la a ses cotes, je n’allais jamais le laisser tomber.




Par contre, je n’aurais pas cru voir celui que j’avais l’intention d’aller voir si rapidement, qu’en sortant de chez moi. Moi qui croyais avoir encore un peu de temps pour me faire un petit discours dans ma tête sur le chemin jusqu'à l’appartement de ce dernier. Mais ce n’était pas le cas, il m’avait prise au dépourvu, et à présent, je me devais d’improviser comment j’allais avouer mes sentiments ? Mon Dieu ! Je n’allais jamais y arriver. Du calme, ne panique pas, tout va bien aller. Je pris une grande inspiration pour me calmer, j’allais réussir, ce n’était pas la fin du monde non ? Bon, pour moi cela pouvait l’être. Et si, il ne me voyait pas de la même façon ? Si je n’étais que la petite sœur de Bucky a ses yeux ? Encore une fois, mon esprit alla vers cette agente que j’avais eue la chance, enfin la malchance, de rencontrer dans le camp. Je ne pouvais pas gagner contre elle, j’étais loin d’être aussi courageuse. Vraiment, je ne devrais pas me comparer à elle, pas aujourd’hui du moins, je ne m’aidais pas dans mon moment de panique. Que pour l’instant je gérais assez bien. Puisque lorsqu’il m’avait demandé où je me rendais de la sorte, j’avais fini par lui répondre que je me rendais chez lui pour le voir. À quoi ce dernier m’avait répondu comme quoi les grands esprits se rencontraient. J’avais lâché un léger rire à cette mention, mais je ne rajoutai aucun commentaire.




Au lieu de cela, je lui demandai s’il voulait bien qu’on rentre à l’intérieur de la maison. Ainsi, j’allais pouvoir me calmer un peu plus, et aussi, je n’avais pas l’intention de lui avouer mon amour sur le pas de la porte tout de même ! Il y avait des endroits beaucoup plus propices à ce genre de déclaration. Surtout, que je ne voulais pas vraiment que mes voisins puissent assister à la scène, avec ma crainte de n’être qu’une amie pour ce dernier. Je savais que si c’était le cas, j’allais m’effondre devant lui, et je ne pourrais sans doute pas m’en empêcher. Déjà que mon cœur se serrait un peu, avec cette peur grandissante en mon être. Donc lorsqu’il me mentionna que oui, il voulait bien qu’on entre, je n’hésitai pas une seule seconde avant de prendre sa main dans la mienne et de me rendre jusque dans la maison. Dès que nous fûmes entrées, j’allai prendre place sur le divan qui était dans le salon, non loin de l’entrée. Il fallait vraiment que je me calme, je n’allais rien réussir si je continuais à paniquer comme je le faisais. Que pourrait-il arriver de pire dans cette situation ? Si ce n’est que d’être rejeté ? Si tel était le cas, j’allais y survivre non ? Enfin, je n’en étais même pas sur moi-même. Mais il ne fallait pas que je pense au pire en ce moment, sinon je risquais réellement de ne rien dire, et je m’étais promis de le faire. J’avais eu plus de temps que n’importe qui pour réellement penser à ce moment, il était temps que je fasse ce bond.


- Ce que je vais dire, est quelque chose que j’aurais dû t’en parler bien avant aujourd’hui. Donc, s’il te plaît, ne m’interromps pas.


Je pris ensuite une grande inspiration, tout en jouant avec les doigts de ma main droite, comme si j’allais finir par m’enfoncer dans le sol, tellement je me sentais tendue dans cette situation que j’avais moi-même créer. Je finis par prendre mon courage, et je levai les yeux pour regarder ce dernier dans les siens.


- Bon. Depuis le tout premier jour où l’on s’est rencontré, je suis tombé amoureuse de toi. J’ai d’abord que ce n’était que petit crush d’adolescente idiote, qui tombe amoureuse du meilleur ami de son frère. Mais avec les années ce crush a fini par tourner vers quelque chose de plus fort. Et en voyant que Jamie te présentait toutes ces femmes, ainsi que sa façon d’être trop protecteur avec moi, m'a fait reculer et c’est pour cela que je n’ai jamais rien dit avant aujourd’hui. Enfin tout cela pour dire, que je t’aime Steve, et je crois que ce sentiment ne s’évapora jamais de mon cœur, puisque ce dernier t’appartient depuis le tout début…


Voilà tout était dit, je ne pouvais plus reculer à présent. Mais j’avais réussi à tout mentionner sans m’arrêter et juste cela était un exploit de ma part. J’aurais cru ne pas être capable de ce miracle, mais j’avais douté de mes capacités à enfin tout extérioriser.
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Message Sujet: Re: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyMer 25 Oct 2023 - 0:17

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Je savais très bien ce que je faisais en allant voir Becca. Je savais que, lorsque je serais arrivé chez les Barnes, je ne pourrais plus faire marche arrière. Aly avait été très claire à ce sujet et je l’avais rassuré. Elle ne voulait pas que j’aille voir sa meilleure amie si ce n’était que pour parler de la pluie et du beau temps. Savait-elle que Becca allait certainement venir me voir aujourd’hui ? Car, c’était ce qu’elle avait prévu lorsque je l’avais croisé à sa porte en arrivant. Est-ce que les deux jeunes femmes avaient eu une quelconque conversation à l’annonce de la fin de la guerre ? Je n’avais pas posé la question à ma meilleure amie et je ne comptais absolument pas la poser à Becca. Après tout, si j’étais là, c’était pour une raison bien précise. La jeune femme à qui je rendais visite m’avait effectivement manqué. Cependant, j’avais également envie d’aborder un sujet de conversation avec elle. Je savais très bien ce que cette dernière pouvait ressentir pour moi. Il aurait fallu être aveugle et ne rien ressentir pour ne pas le voir. Et je n’avais jamais rien tenté, je n’avais rien osé avec elle car je ne savais pas quel aurait été la réaction de mon meilleur ami. Cependant, cette fois, je ne souhaitais pas me retenir et tant pis s’il fallait que j’aie une discussion avec Bucky sur le sujet.

Lorsqu’elle me demanda si je voulais entrer, j’avais approuvé. Il était toujours mieux de discuter à l’intérieur plutôt que devant la porte d’entrée. Je me doutais bien du sujet dont elle voulait parler et il était préférable d’être à l’intérieur que sur le pas de la porte. Ce n’était pas le lieu approprié pour ce qu’elle avait certainement à me dire. De plus, nous n’allions tout de même pas rester comme deux idiots à l’extérieur. Alors oui, il était peut-être préférable de rentrer, surtout si l’on voulait être tranquille. Becca semblait déjà assez nerveuse comme ça. Elle n’avait pas besoin que des voisins l’observent lorsqu’elle finirait par m’avouer ce qu’elle avait à dire., même si, d’une part, je m’en doutais déjà.

J’avais pris place à ses côtés sur le divan du salon. J’avais très envie de lui prendre la main pour la rassurer, mais je n’en fis rien. J’attendais de savoir ce qu’elle avait à me dire. Peut-être avait-elle tiré un trait sur moi ? Pour le coup, elle était tellement nerveuse que je ne savais plus réellement quoi penser. Qu’est-ce qu’elle avait à me dire ? Et elle faisait durer le suspense, me demandant de ne pas l’interrompre. J’acquiesçais silencieusement, lui laissant la possibilité de me dire tout ce qu’elle avait à me dire. Et elle finit par parler. Etrangement, je savais déjà ce qu’elle allait me dire. Et, à chacune de ses paroles, je sentais un sourire se dessiner sur mes lèvres. Et, soudainement, pris d’une certaine pulsion alors qu’elle venait de terminer son récit, je posais une main sur sa nuque tout en approchant mon visage du sien. Puis, sans la moindre hésitation, je posais mes lèvres sur les siennes. Depuis le temps que j’avais attendu ce moment, je n’imaginais pas pour elle. Surtout vu la révélation qu’elle venait de me faire. Puis, je m’éloignais légèrement d’elle pour poser mon front contre le sien. « Si tu veux tout savoir, ce n’est pas pour rien que je suis venu aujourd’hui. Je t’aime, Becca. »
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Message Sujet: Re: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyMer 25 Oct 2023 - 2:50


When I see you again

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Maintenant, que j’avais celui qui faisait battre mon cœur tout près de moi, je devais m’avouer que je stressais un peu. Si ce n’est pas de dire que j’avais peur. Mais peur de quoi ? Que ce dernier ne me voit qu’en simple amie ? Ou pire encore qu’en la petite sœur énervante de son meilleur ami ? Parce que oui, je m’avais souvent presqu’invité toute seule lorsque les deux se retrouvaient. Et peut-être que ces deux-la ne voulaient pas de moi, avec eux. Je n’y avais jamais réellement pensé. J’avais peut-être été de trop, et c’était pour cela que le jour que Steve avait présenté Alya à mon aîné, ce dernier m’avait amené avec lui. Pour qu’ainsi, je les laisse être eux, et qu’enfin, ils soient débarrassés de moi. Je n'étais peut-être qu’une simple gène dans toute cette histoire. Voilà ce qui pouvait me faire le plus peur dans la situation que je m’étais moi-même mise dedans. Mais au lieu de paniquer, je n’avais que demander à ce dernier s’il voulait bien entrer dans la maison. Parce que pour ce j’avais à lui révéler aujourd’hui, était d'un pas facile pour moi. Et de deux, je n’avais pas envie qu’un voisin décide de sortir pendant ma déclaration, me gênant encore plus. Surtout que j’ignorais encore comment j’allais pouvoir sortir un simple mot d’une déclaration, dont je n'avais aucune idée comment l’aborder en premier. Ce n’est pas facile, lorsque l’on n'a aimé qu’un seul homme toute sa vie. Aucun autre mec qui n'avait peu m’approcher, du temps que les deux soldats ne soit pas là, avait pu susciter le moindre intérêt de ma part. Non, pas qu’ils n’étaient pas intéressants en tant que tel, mais mon cœur était déjà pris, et il ne sera s’en doute jamais libre d’aimer quelqu’un d’autre que lui.



J’avais donc conduit ce dernier à l’intérieur, avant de prendre place sur le divan, qui était dans le salon non loin de l’entrée. Dès que ce fut fait, je sentis la nervosité gagner en mon être. Je n’avais jamais été aussi nerveuse qu’en ce jour. Peut-être était-ce la raison pourquoi je lui avais demandé de ne pas m’interrompre, alors que je savais déjà que ce n’était pas son genre. Mais la nervosité me faisait dire des choses étranges en ce moment. Tellement que je n’arrêtai pas de jouer avec les doigts de ma main droite, comme si je voulais concentrer mon attention ailleurs que sur le fait que je devais avouer quelque chose que j’avais gardé pour moi tellement longtemps. Si on ne comptait pas le fais que James avait vite compris, ainsi que ma meilleure amie. Mais pour eux, j’étais un livre ouvert, donc il n’y avait pas de surprise ici. Par contre, je finis tout de même par relever mon regard pour le regarder droit dans les yeux, je ne pouvais pas dire ce que j’avais à dire en regardant vers mes mains. Il me fallait être courageuse un peu. Même si je ne pensais pas en être réellement capable, je finis par tout déballer d’un seul coup. Du fait que depuis le premier jour, j’étais tombé sous son charme, bine avant qu’il soit Captain America d’ailleurs. Peut-être aurais-je dû lui dire cela à cette époque-là ? Avais-je attendu trop longtemps pour lui révéler mes sentiments, j’espérais que ce ne soit pas le cas ? Parce que je ne sais pas si j’allais pouvoir survivre à être rejeté en ce moment.




Mais dès que j’eus fini mon discours, je pus voir ce sourire sur ses lèvres. Par contre, je n’eus pas le temps de poser la moindre question sur ce sourire, que je sentis la main de ce dernier sur ma nuque, avant de le voir se rapprocher de moi. Je fus surprise de ce geste, que je ne bougeai même pas de ma position, jusqu'à ce que je réalise enfin, qu’il était en train de m’embrasser ?! Je ne rêvais pas là ? Dites-moi que ce n’est pas qu’un simple rêve, et que je ne vais pas me réveiller dans mon lit ? Après quelques secondes, je finis par comprendre que non, ce n’était pas qu’un simple rêve. Donc je fermai les yeux avant de lui rendre ce baiser, et de glisser mes bras autour de son cou. Combien de temps avais-je attendu pour ce moment déjà ? Je ne voulais plus y penser, ni compter les années de silences. Mon rêve venait d’enfin de se réaliser, et même si cela m’avait pris des années, et une séparation à cause de la guerre, en plus d’un moment de gros doute sur moi-même. Et ma manie, à vouloir me comparer à l’agente Carter, qui avait pourtant été une amie pour moi au camp. Puis lorsqu’il se recula quelque peu, je finis par rouvrir mes yeux, pour plonger mon regard dans le sien. Je ne fus pas si surprise que cela aux mots qu’il finit par prononcer. Il m’aimait aussi. Pourquoi je n’avais pas été surprise ? Parce que s’il n’avait rien éprouvé pour moi, il ne m’aurait pas embrassé de la sorte. Il n’était pas le genre d’homme à ce joué des sentiments de quelqu’un encore moins une femme.


- Je suis heureuse de savoir que c'est réciproque. J’ai vraiment eu peur que ce ne soit pas le cas…

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Message Sujet: Re: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyJeu 30 Nov 2023 - 22:45

When I see you again.

« It’s been a long day without you my friend. And I’ll tell you all about it when I see you again. We’ve come a long way from where we began. Oh I’ll tell you all about it when I see you again. »
Je savais très bien pourquoi je me rendais chez les Barnes de bon matin. Je savais que je ne pouvais pas attendre une minute pour aller prendre Becca dans mes bras. Je m’étais inquiété pour elle la dernière que je l’avais vu. En effet, cette dernière se trouvait au front en tant qu’infirmière. Je n’avais rien dit car, de toute évidence, je n’avais pas mon mot à dire sur la situation. Après tout, j’avais décidé de m’engager malgré les réticences des filles. Aly m’avait prévenu à maintes reprises et je me doutais que me savoir à la guerre était loin de plaire à Becca. Alors je n’avais réellement pas eu mon mot à dire. Je ne pouvais pas lui dire de rentrer et de quitter son poste. Surtout que je n’aurais pu le lui dire. Comment lui demander de rentrer quand j’avais emmené ma meilleure amie avec moi ? Non, je ne pouvais demander à aucune des deux de rentrer au pays en disant qu’elles n’étaient pas en sécurité. Oui, je m’étais inquiété pour ces deux-là et, heureusement, Aly avait dû rentrer. J’avais annulé mes tournées pour prendre le poste qui me revenait de droit et participer à cette guerre. De cette façon, elle n’avait eu que d’autres choix de rentrer et Becca n’avait pas tardé à suivre ma meilleure amie.

C’était la dernière fois que j’avais vu les filles. Et, depuis que j’étais rentré, je n’avais qu’une seule envie : les retrouver. Je savais que Becca ne serait pas seule. Bucky était rentré chez lui et je me doutais qu’ils avaient beaucoup de choses à se dire. Quant à Aly, je savais qu’elle attendrait certainement mon retour à la maison. Pour le coup, je ne m’étais pas trompé. Ma meilleure amie m’avait sauté au cou à peine j’avais sonné à la porte. Et s’en était suivi une longue conversation. Elle m’avait posé énormément de questions et j’avais perçu dans son regard toute s’inquiétude s’en aller au fur et à mesure de mes réponses. Je savais que cette guerre l’avait angoissé. Je connaissais sa peur de me voir devenir comme son père. Et, j’avais réussi à la rassurer comme je pouvais. Maintenant, tout ce que j’avais à faire c’était de retrouver Becca. Cette dernière me manquait terriblement. C’est pour cette raison que je n’avais pas attendu une minute de plus avant de quitter mon appartement pour me rendre chez les Barnes. J’avais envie de revoir cette femme surtout que j’avais plusieurs choses à lui dire et à lui révéler. Tant pis pour l’avis de Bucky, j’en parlerai avec lui plus tard.

J’avais fini par retrouver Becca alors qu’elle sortait de chez elle. En vérité, elle ne s’apprêtait pas du tout à quitter son domicile pour une quelconque séance shopping. Non, elle avait eu en tête de venir me voir. Comme quoi… Cette réponse m’avait fait sourire et, finalement, nous nous sommes rendus à l’intérieur, dans le salon. Je l’avais laissé tout me dire. Elle me faisait ouvertement part de ses sentiments. Alors, sans la moindre hésitation, je l’avais embrassé. Etrangement, j’avais senti sa surprise et, finalement, ce fut comme si elle réalisait ce qui était en train de se passer quand je senti ses bras entourer mon cou pour me rendre le baiser que j’étais en train de lui donner. Puis, je finis par m’éloigner légèrement, tout en lui disant que je l’aimais. Cependant, sa remarque me fit comme tilt. Alors, la regardant toujours droit dans les yeux, je finis par simplement lui demander : « Et pourquoi ça ? Pourquoi as-tu eu peur que ce ne soit pas le cas ? » Pour le coup, je me demandais ce qu’elle avait bien pu penser pendant tout ce temps. Pourquoi pensait-elle de la sorte ?
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Message Sujet: Re: When I see you again. | ft. Rebecca Barnes   When I see you again. | ft. Rebecca Barnes EmptyMar 6 Fév 2024 - 23:10


When I see you again

When you come back home, I will say it. I love you Steven Grant Rogers


Lorsque j’avais décidé de sortir de la demeure qui avait toujours été celle des Barnes, je ne m’étais pas attendu à retrouver celui que je voulais aller voir devant chez moi. Comme si on avait eu la même idée, enfin, c’était bien ce qui s’était déroulé. Retrouver mon aîné hier soir, m’avait donné le courage qui me manquait depuis très longtemps. Non pas que je n’étais pas courageuse normalement, mais le fais que j’avais cette peur grandissante de n’être pas assez bien pour celui qui faisait battre mon cœur était quelque peu, enfin très alarment pour moi. Je ne savais pas comment j’allais réagir, si ma déclaration pour lui se terminait mal. Je n’allais s’en doute pas me remettre de ce genre de refus. Je n’avais qu’aimer un seul homme dans toute ma vie, et je ne savais pas comment agir, s’il ne ressentait pas la même chose que moi. Voilà pourquoi j’avais voulu me rendre chez lui, ainsi si cela tournait mal, je pouvais toujours fuir sans regarder derrière moi. Mais malheureusement, il était venu a moi, je ne pouvais pas fuir nulle part, et ceci m’effrayait tellement. Il était trop tard pour reculer de toute manière, je l’avais rentré dans la demeure, et assis sur le divan, qui était non loin de l’entrée d’ailleurs. Je n’allais pas repousser ce moment encore plus loin dans un futur si incertain. J’avais trop attendu déjà. Il avait fallu, une guerre, ainsi que cette peur immense de le perdre a cette dernière pour que je me décide enfin à vouloir l’avouer. Bien que le moment où il m’avait mentionné avoir intégré l’armée, j’avais voulu tout dévoilé, mais je m’étais tu au dernier moment, ne voulant pas risqué de lui faire regretter son choix de se porter volontaire pour cette expérience, dont je n’avais rien compris du tout.





Toujours avec cette crainte qui me torturait l’esprit, ainsi que mon estomac, faut croire, j’avais fini par lui demander de ne pas m’interrompre, le temps que je dévoile tout dans un discours à ne plus finir. Comme à mon habitude, dès que je suis qu’un, tant soit peu nerveuse, voilà ce qui se passe. Une chance, ce dernier me connaît mieux que quiconque, et il ne dit rien pendant mon discours. Par contre, je ne m’étais réellement pas attendu à ce que ce dernier m’embrasse dès que j’eus fini de parler. Justement, cela m’avait pris un petit moment avant de le réaliser, mais je ne m’étais pas prié pour finir par lui rendre ce baiser tant attendu de ma part. Et lorsqu’il m’avait dit ressentir la même chose que moi, ce qui me rendait plus qu’heureuse de l’entendre. Je pouvais cesser de me tourmenter sur le sujet. Par contre j’aurais dut me taire pour la suite, parce que je venais réellement de me mettre dans une situation des plus complexe. Surtout avec la question qu’il me posa après que j’aille simplement mentionner que j’avais eu peur que ce ne soit pas le cas. Et merde ! Que pouvais-je dire maintenant ? La vérité complète ou simplement une partie de celle-ci ? Je ne savais plus comment agir en ce moment, et c’était bien cela qui me faisait peur. Mordillant ma lèvre inférieure un petit moment, je pris une petite pause avant d’enfin décider de parler de nouveau.



- Je pensais que tu ne m’aurais que vue comme la petite sœur de ton meilleur ami, c’est tout.




Non, ce n’était pas tout, il y avait aussi cette jalousie maladive que j’avais de l’agente Carter. Et ce même, j’avais été amie avec elle, lors de mon passage au front en tant qu’infirmière. Mais je n’allais pas lui mentionner cette raison, je ne pouvais pas. Il ne fallait pas, sinon j’allais avoir l’air quelque peu idiote de l’avouer. Surtout que je devais cesser de me comparer avec elle, il avait avoué m’aimer, je ne pouvais pas penser autrement à présent. J’étais s’en doute la partenaire idéale qu’il avait attendue, du moins je l’espérais grandement à cet instant précis.
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